
Jonathan Zaccaria
Antarctique et Arctique
5 septembre
17 septembre 2018
À bord de l’Ortelius, septembre 2018
Jonathan Zaccaria
Antarctique et Arctique
Journal de bord
Paris / Longyearbyen (78°13’N, 15°37E’)
Pour commencer notre aventure vers le Grand Nord, nous nous retrouvons au terminal 3 de l’aéroport de Paris Charles de Gaulle dès 4h45 du matin. Une partie du groupe, dont les passagers arrivant de Suisse, a déjà pu faire connaissance dès la veille, à l’hôtel Ibis.
De Paris, un avion de la compagnie ASL, spécialement affrété par Grands Espaces, nous attend.
Le Commandant de bord, fort sympathique, commente les différentes étapes de notre vol. Nous franchissons le Cercle polaire au nord de la Norvège puis traversons la mer de Norvège qui nous sépare de l’archipel du Svalbard.
Quatre heures 15 plus tard, nous plongeons dans l’air frais et vivifiant de Longyearbyen. 78° de latitude nord, 4°C et des montagnes enneigées… nous sommes au Spitzberg.
Avant d’embarquer à bord de notre navire polaire l’Ortélius, nous partons en autocar pour une excursion dans la vallée de l’Advent, « l’Adventdalen », sous la conduite de nos guides, Fabrice, Jérémy et Élodie.
Après l’arrêt au pied du panneau signalant le danger que représentent les ours à la sortie des dernières habitations, nous remontons la vallée de l’Advent au milieu des vastes étendues de toundra peuplées de bernaches nonnettes et de rennes du Spitzberg, espèces magnifiquement adaptées à la survie dans ces contrées polaires.
À un peu plus d’un kilomètre du port s’étend donc la petite ville de Monsieur John Munro Longyear : Longyearbyen. Fondée en 1906, c’est aujourd’hui la plus grande « ville » de l’archipel avec 2 100 habitants de 44 nationalités différentes. C’est un lieu bien singulier. Avec ses baraques en bois sur pilotis profondément ancrées dans le sol, ses gazoducs, son hôpital, ses bars, sa boîte de nuit et… son UNIS : l’Université la plus septentrionale du monde.
Les écoles sont protégées par de hauts grillages. En aucun cas pour éviter une évasion des jeunes écoliers vers des contrées plus douces, mais bien pour les protéger. L’ours fait ici partie du quotidien. À l’entrée de la banque de Longyearbyen, un panneau demande aux clients de déposer leur arme à l’extérieur !
Dans la très conviviale église de bois, il est possible de s’arrêter boire un thé et déguster des waffles (gaufres).
Longyearbyen, c’est aussi ses 7 mines de charbon, ses wagonnets sur leurs téléphériques.
Seule la mine N°7 est encore en exploitation. Son charbon alimente la centrale thermique et fournit ainsi l’électricité nécessaire à cette ville du haut arctique. La statue, devant le supermarché, est là pour rendre hommage aux mineurs du Svalbard.
Autour des habitations, de nombreux skidoos attendent les premières neiges. Les importantes meutes de chiens nous font imaginer les belles escapades hivernales.
Sur les collines environnantes, de larges antennes ont retenu notre attention. Ces infrastructures permettent d’étudier les aurores boréales : magie des hautes latitudes qui illuminent la longue nuit polaire.
Les deux dernières heures sont consacrées, qui à la visite du musée polaire situé dans les bâtiments de l’université, qui à faire marcher le petit commerce de pulls norvégiens, d’artisanat d’art local, d’eau fossile d’iceberg mise en bouteilles ou peluches et autres souvenirs qui attesteront notre passage dans la ville la plus septentrionale du monde !
Nous embarquons à bord de l’Ortélius à 16h00. Après avoir écouté les importants conseils de sécurité et participé à l’exercice d’abandon obligatoire, nous faisons plus ample connaissance avec notre équipe d’expédition, dirigée par Jonathan, qui nous présente le voyage. Élisabeth nous donne quelques précieux conseils sur la vie à bord, puis nous larguons les amarres et quittons l’Isfjord, pour mettre le cap au Nord.
Après le dîner et la distribution des bottes et des gilets, chacun regagne sa cabine pour un repos bien mérité, mais c’est sans compter sur la présence d’un grand rorqual, dont Maxime a repéré le souffle, lors d’une première veille à la passerelle, et qui nous propose un superbe spectacle à quelques mètres à peine du navire.
Bienvenue à bord pour 15 jours d’expédition polaire !
7h30, premier réveil en douceur de notre chef d’expédition ; le petit déjeuner nous attend au restaurant et la mer plutôt houleuse de la nuit a laissé place à une mer assez calme, éclairée par de belles lumières.
Nous découvrons alors les premiers paysages du Spitzberg avec ses montagnes pointues, et pour l’occasion, saupoudrées d’une fine couche de neige. L’ambiance est magique.
Nous arrivons ensuite dans la baie de La Madeleine, c’est à bord du bateau que nous longeons les côtes de cette baie pour en admirer les reliefs. On retrouve sur ce site historique 130 tombes de baleiniers anglais du 17e siècle qui reposent ici. C’est un des plus grands cimetières de ce type au Svalbard.
C’est en milieu de matinée que nous faisons notre première sortie en zodiac, au fond de la baie, afin de profiter de ces ambiances polaires. Le temps un peu brumeux au début se dégage alors pour nous laisser profiter de nos premières glaces, du glacier nommé « Waggonwaybreen » et de ses montagnes environnantes de plus de 1000 m. Le glacier nous offre même un beau spectacle avec un vêlage remarquable ! La surprise du jour, ce sont plusieurs phoques veaux marins, qui curieux, viennent nous voir jusqu’aux zodiacs !
C’est à 12h que nous retournons à bord, de belles images plein les yeux et les estomacs creusés, afin de profiter du buffet qui nous est proposé.
L’Ortélius reprend alors sa navigation. À partir de 14h45, des mini-conférences nous sont données par nos guides sur les baleiniers, le labbe parasite, un des oiseaux que nous avons observé dans la matinée et le Rorqual commun que nous avons eu la chance d’observer la veille au soir.
Nous arrivons ensuite aux abords du Raudfjord, sa géologie particulière lui confère de superbes couleurs rouges. Dehors, la neige tombe parfois à gros flocon et renforce cette ambiance de fin d’été à travers laquelle ces déserts polaires nous semblent encore plus hostiles et de fait nous fascinent encore plus. C’est à bord du bateau que nous longerons les côtes de ce fjord afin d’en admirer tous les contours.
Avant d’arriver à notre destination finale pour la journée, le site d’Alice Hamna, et avant le dîner, Jérémy et Élodie nous invitent à écouter l’histoire du « Drame de l’expédition Andrée » à destination du Pôle Nord… en ballon !
Après le dîner, c’est un débarquement à terre qui nous attend et une marche digestive à travers des paysages de toundra. Nous admirons les lumières du soir, les nuages percés par des éclats rougeoyants, les montagnes enneigées, l’eau lisse et bleue et la terre caillouteuse et sombre qui contraste avec tout ça. Une fois de plus, l’ambiance est saisissante. Nos guides nous content des histoires de trappeurs, de baleiniers et nous renseignent sur les bêtes à plumes et les diverses plantes et formations géologiques que nous rencontrons sur notre trajet.
22h30, il est temps de rentrer à bord du navire après cette belle première journée, car demain, il nous reste encore de beaux spectacles à découvrir !
Ce matin, nous nous réveillons avec à l’esprit la belle baleine que nous avons quittée hier soir avant d’aller nous coucher. Nous prenons la direction du Bockfjord où nous arriverons vers 10h30. Ce magnifique Fjord est bordé d’un côté d’une chaîne de montagnes aux roches rouges, dont les sommets sont aujourd’hui enneigés grâce aux précipitations d’hier, et de l’autre côté par un ancien volcan et des glaciers. Malgré la beauté des montagnes qui le forment, ce fjord est assez peu connu du grand public et très peu de navires s’y rendent. Une fois débarqués sur la plage, nous nous organisons en trois groupes de marche de niveaux différents pour aller nous promener sur les pentes du Sverefjellet, l’un des 3 volcans du Spitzberg.
Le groupe de la petite marche est guidé par Elodie, spécialiste en géologie, qui prend à cœur d’observer les roches et d’expliquer la géomorphologie de ce lieu atypique ; elle nous parle des différentes roches volcaniques que nous trouvons et nous explique la présence de plages surélevées, géromorphisme très présent au Spitzberg lié à la surélévation de la croûte terrestre lors de la fonte des glaciers.
Les groupes de la moyenne et de la longue marche vont un peu plus haut et plus loin. Nous observons une grande diversité de végétation dans la toundra qui forme les rives de ce fjord avec notamment des saxifrages en touffes, des mousses et des lichens. D’un point de vue faunique, nous sommes gâtés ce matin : nous avons pu voir des lagopèdes alpins (pour la première fois de la saison), des labbes parasites et des rennes avec leurs petits.
Lors de cette sortie et suite à un problème technique, Maxime (le pilote de drone) a « posé » son drone sur le Sverefjellet à 500 m d’altitude. Il est donc parti à pied avec une équipe de guides pour faire l’ascension de ce volcan afin de le récupérer. Le drone a subi quelques dégâts, mais Maxime a pu le réparer et il est de nouveau prêt à faire des prises de vues aériennes de notre expédition.
Après cette sortie, nous remontons à bord pour le déjeuner et mettons cap vers le glacier de Monaco où nous arrivons à 16h. Nous partons en croisière zodiac devant ce front de glace de 7 km de long pour y admirer d’imposants icebergs. Certains sont d’un bleu profond, d’autres sont très travaillés par l’érosion, bref, un spectacle magnifique. Nous avons également la chance d’observer 2 phoques barbus qui nagent au milieu des bourguignons (petits icebergs).
Nous rembarquons sur l’Ortelius et mettons le cap vers l’ile de Moffen (80°N) pour y observer des morses. Pendant la navigation, nous en profitons pour faire un « récap » sur les différentes observations de la journée et nous dînons. Des guides se relaient à la passerelle depuis 6h du matin pour « scanner » les cotes en espérant trouver un ours, mais la chance n’est pas avec nous sur ce point-là. Jonathan nous annonce alors les plans de la journée de demain : nous allons mettre le cap vers l’ile Charles XII où, par expérience, nous avons de bonnes chances d’en voir.
Happy bears’ day !!!
7h50, la douce voix de notre chef d’expédition se fait entendre dans le bateau, appel inattendu et précoce, mais les conditions de mer et de vents nous ont permis d’arriver plusieurs heures en avance à notre objectif, l’île de Charles XII.
9h la masse rocheuse est en vue, toutes les jumelles sont braquées sur les plages et les versants de cette montagne. Le paysage est magnifique, nous sommes en face d’un pic rocheux isolé et perdu au nord de la Terre du Nord Est. Très vite, l’excitation se fait sentir à bord, nous repérons des points blancs sur la côte, mais nous sommes trop loin et ils restent immobiles pour l’instant, impossible d’identifier de quoi il s’agit actuellement. Nous attendons que le navire s’approche et au bout d’un suspens insoutenable nous pouvons enfin avoir confirmation, oui nous avons repéré un ours allongé dans la toundra, non… deux ours et même trois ours au moins sur la partie de l’île qui nous fait face.
Il est temps de mettre les zodiacs à l’eau, la mer est belle, la lumière est fantastique, nous faisons cap avec nos petites embarcations vers les côtes de Charles XII. À peine arrivés nous repérons sur un des pics rocheux à l’ouest de l’île, toute au sommet, une grande silhouette qui nous observe. Le seigneur de l’Arctique est là, impassible. Il se découpe à contre-jour et sur fond de ciel, le spectacle est tout à fait unique, majestueux. Après une dizaine de minutes, il se met en marche vers le nord de l’île, nous le suivons avec nos zodiacs tranquillement tout en profitant du spectacle que nous offrent les paysages.
Un peu plus loin, nous trouvons deux morses, une mère et son jeune, qui se reposent sur un rocher, impassibles, insensibles à notre présence également. Mais nous sommes tous attentifs, l’ours marche dans leur direction. Il s’approche tranquillement, comme s’il n’était pas intéressé, mais arrivé à une dizaine de mètres les morses le repèrent, moment de panique, ils se jettent dans l’eau, l’ours ne réagit pas, il continue inlassablement sa marche. Un peu plus haut dans la toundra nous repérons deux autres ours blancs, ils ont l’air de fouiller le sol, difficile à dire s’ils mangent de la végétation ou s’ils sont à la recherche de quelques cadavres d’oiseaux. Au sommet de l’île, une grande colonie de mouettes tridactyles se fait entendre, nous pouvons encore apercevoir les oiseaux posés sur leur nid. Un quatrième ours allongé apparaît un peu plus loin, panorama improbable, nous avons quatre ours dans notre champ de vision, tout simplement magnifique.
Nous continuons à longer l’île vers l’est et ne tardons pas à voir un rocher avec une vingtaine de morses qui se reposent. Un autre groupe est dans l’eau, ils se montrent curieux, sortent la tête pour nous observer, s’approchent des zodiacs, un véritable ballet s’opère autour de nous et nous repérons un cinquième ours allongé sur la plage, derrière le groupe de morses.
Une sortie féerique et il est déjà temps de retourner à bord pour prendre la direction du Groenland. Nous mettons ainsi le cap vers l’ouest en longeant la côte nord du Spitsberg. Manon et Jérémy en profitent pour nous présenter lors d’une conférence les oiseaux de l’Arctique et Jonathan nous raconte le Svalbard, son histoire, sa géologie et la vie sur cette île du bout du monde.
Avant le repas, le commandant de bord nous offre un apéritif, champagne et petits fours sont servis au bar. Le repas est suivi d’une projection de film en salle de conférence. Il est temps à présent d’aller se reposer après cette journée riche en observations, riche en émotions. Durant notre traversée nous changeons de fuseau horaire, nous gagnons une heure de repos, à 3 h il sera 2 h.
Après une nuit en mer à bord de l’Ortelius, qui a mis le cap sur la côte Est du Groenland, nous entamons la matinée avec l’observation de plusieurs dauphins depuis la passerelle du bateau. Le ciel est gris, et la houle accompagne notre navigation.
La matinée débute autour d’un café, et c’est l’occasion d’échanger sur toutes les découvertes que nous avons effectuées depuis le début de la croisière.
Après la matinée exceptionnelle de la veille, passée en compagnie d’ours, de morses et d’oiseaux, plusieurs conférences nous sont proposées pour cette journée en mer.
Une première conférence, animée par Fabrice, concerne l’ours polaire. De son nom scientifique Ursus maritimus, de 2,4 à 3,3 m de longueur, d’un poids de 180 à 550 kg et de couleur blanc-jaunâtre (le jaune ours…) l’ours est appelé « nanook » par les Groenlandais. Fabrice nous explique qu’après une brève cour de huit jours environ, mâle et femelle se séparent, car ce sont de farouches solitaires. La femelle pleine quitte la glace en novembre-décembre pour trouver une solide congère et y creuser une tanière où elle met bas un ou deux petits de 450 g. Elle y demeure jusque vers le 1er avril, à nourrir sa progéniture sans s’alimenter, en vivant sur ses réserves. En 2 mois, les oursons atteignent une dizaine de kilogrammes, grâce à la richesse du lait maternel. Les jeunes restent avec leur mère jusqu’à 26 mois environ. Ainsi la femelle ne donne naissance que tous les 3 ans. La durée de vie moyenne est de 25 ans, Protégé au Spitzberg depuis le traité de 1978, il est chassé dans certains pays, dont le Groenland. Bien des menaces pèsent sur cette espèce, comme la diminution de la banquise qui constitue son territoire de vie et surtout la pollution multiforme qui se concentre dans l’Arctique.
S’ensuit l’intervention de Jean, qui partage avec nous son expertise en photographie. Au programme, la transmission de diverses méthodes pour réaliser de meilleures images pendant le reste du voyage.
Le déjeuner passé, nos responsables de l’hôtellerie Sigi et Sava ouvrent la petite « boutique » du bord, et Élisabeth propose à la vente les livres de Christian Kempf. Puis c’est au tour de Nicolas d’animer une conférence sur les pinnipèdes (phoques, morses, otaries, etc.). Attentifs, nous sommes désormais en mesure de distinguer les différents spécimens que nous avons déjà pu observer.
Avec une petite pause, en fin d’après-midi, un film sur le Fram nous est proposé en salle de conférence. Ce bateau, construit par l’architecte naval norvégien Colin Archer, selon le plan de Fridtjof Nansen, célèbre explorateur, appareilla en 1893 pour l’océan arctique et le pôle Nord. Le documentaire nous conte les 3 grandes expéditions, dont la première fut dirigée par Fridtjof Nansen (1893-1896), la deuxième par Otto Sverdrup (1898-1902) et la troisième par Roald Amundsen dans les années 1910-1912 à destination du pôle Nord. Le Fram (qui signifie « en avant » en norvégien) peut aujourd’hui être visité à Oslo dans l’un des musées se trouvant sur la péninsule de Bigdoy.
À 18h30, Jonathan, notre chef d’expédition, annonce le programme des jours à venir. Au menu, une arrivée en baie de Dove d’ici demain, pour observer la banquise que les cartes nous promettent. Rendez-vous donc demain, sur l’île la plus grande du monde.
Suivez nos voyages en cours, grâce aux carnets de voyages rédigés par nos guides.
Pour une meilleure expérience, nous vous conseillons de tourner votre tablette en paysage
Messages
Bonsoir à tous ! Passagère sur l’Ortélius début juillet dernier je voudrais faire un petit coucou à Elisabeth et lui renouveler toute notre amitié et lui dire combien nous avons apprécié sa compétence et son dévouement. Je suis ravie qu’elle reparte en expédition.
Beau voyage à tous et peut être nous reverrons nous sur une autre croisière.
Cordialement,
D B
Bonjour à tous , en particulier à Marie Claude et sa cousine
Nous suivons votre expédition ,je la trouve magnifique ,nous pensons bien à vous ,profitez en au maximum
Bon séjour à vous tous
Joël
Bonsoir A Mireille et Françoise de Pont Saint Esprit
Je suis attentivement votre voyage, j’espère que vous profitez bien de ces magnifiques paysages. je pense a vous le soir au bord de ma piscine, et je suis contente d’avoir chaud! Alors ce pull en Alpaga, vraiment chaud ?
Je vous embrasse
Bises
Monique
Bonsoir, je suis avec une grande attention vos comptes-rendus puisque je connais bien une de vos passagères.
Avez vous la possibilité de joindre quelques photos de vos visites au gré de vos comptes-rendus ou pas ?
Ce serait formidable pour les proches qui suivent pas à pas vos expéditions !!!!!
Merci et bonne continuation !!
Sabine
Quel voyage !!!! J’en ai plein les yeux et quels regrets de ne le partager avec vous…
Affectueusement. Monique
Un coucou à Sylvie et Denis
Nous suivons pas à pas votre magnifique exploration et nous sommes ravis des bellles journées que vous passez à contempler cette faune exceptionnelle.
Bonne suite de voyage.
Dommage que nous ne puissions avoir quelques photos……. nous les verrons à votre retour !!!
Bises
Mimi et Jean Lou
Bonjour!!! Salutations à tous, particulièrement à mon oncle Jacques B. et ma tante Francine D.
Quel plaisir de vous suivre, quelle belle aventure!!! Profitez au maximum!!!
Déjà hâte d’entendre vos récits!!! À bientôt!!! Soyez prudents!!
Mylène & Louis-André
Encore un petit coucou a Mireille et Françoise, Demain, je pars en randonnée et je ne pourrai plus suivre votre voyage profitez bien, et Si le paysage est encore plus beau que le récit, le voyage doit être magnifique !
Bises a vous deux
Monique
Bonjour aux amies Brigitte et Eliane
Quel plaisir fantastique nous avons en vous suivant sur cette aventure.
Nous ferons une séance photos (hâte de voir ces ours blancs tant attendus) en octobre
Prenez un plaisir immense avec ces passions qui vous animent les amies
Pensons à vous
Bises à vous deux
Anne Marie. Jean-Jacques
Bonjour Lorrain à Monique et Pascal,
Je suis avec enthousiasme et admiration votre périple boréal tellement insolite !
Que de souvenirs emmagasinés, de visions improbables de faune et de beautés géologiques !
Un bel anniversaire de mariage qui en appellera d’autres sous d’autres latitudes, j’imagine…
MP et moi pensons à vous et vous souhaitons bon vent pour la fin en Islande.
Bises
Hello Sylvie et Dénis
Bienvenue au Groenland
Deux mamans ours avec leur progéniture pour vous accueillir c’est génial
Vivement des photos avec les belles couleurs décrites dans les commentaires du voyages.
Vous devez vivre ça à fond
Sylvie couvres toi bien
Bises à vous deux
Bonjour Lorrain à Monique et Pascal, nos grands explorateurs de l’extrême,
Quelle aventure parmi des paysages et une faune époustouflants, vous devez en prendre plein la vue !
2018 restera une année « inoubliable » à bien des égards pour Monique, c’est sûr…
Bientôt l’Islande pour terminer en beauté cette expédition polaire, profitez en bien !
Bises,
MP et Pierre
De la part des enfants et petits-enfants d’ALAIN et CATHERINE, qui ont la chance d’être à bord de l’Ortelius :
Merci pour ces récits qui nous font rêver et voyager.
Nous sommes heureux de partager un peu de cet extraordinaire voyage.
Bonne navigation à tous.
Bonjour et en particulier à mon amie Thérèse B,
Merci pour les nouvelles, quelle belle expédition mais quel dommage pour les photos !
Profitez en bien.
Bisous Thérèse ?
Nathalie, Chupa et Forza
Bonjour à mes parents, Monique et Dominique
je viens de lire les compte rendus de ces derniers jours
Génial, vous avez vu des ours et des aurores boréales! Vous devez être aux anges!
Papa, tu vas nous avoir fait de superbes photos; je n’en doute pas
je vous embrasse très fort
ici, il fait encore très chaud
profitez bien
Bisous
Céline
Bonjour à Mireille et Françoise de Pont-Saint-Esprit
Superbe voyage – je me réjouis déjà de pouvoir voir les photos.
Bonne Continuation ! Bisous
Marie-Antoinette
Bonjour Marie Claude ,et la cousine !
Ainsi qu’a Tout le monde
Nous suivons votre périple au quotidien !
Quelle belle expédition tu fais avec ta cousine ! Les commentaires sont très clairs ,vous devez vous régaler avec tous ces paysages féeriques ,la faune qui ne fait absolument pas attention à vous ,que du bonheur
Vous allez rentrer avec des souvenirs pour longtemps
Grosse bises
Joël ,Jacqueline
Pour Antoine et Marie : Je pense à vous et sais combien vous devez apprécier ce temps exceptionnel !
En arrivant à Chypre aujourd’hui, ( tout se passe bien pour moi ) ,une participante m’a longuement parlé de l’Ortelius car elle a fait le Spitzberg il y a quelques années et cette croisière lui a laissé un souvenir impérissable !
Profitez bien et au maximum !
Je vous embrasse ❤️
Hello Sylvie et Denis,
Nous voyons que votre exploration se passe toujours à merveille avec en prime les aurores boréales, ça nous rappelle de bons souvenirs.
Alors …. bœufs musqués dans la boîte à image ou pas ?
Nous supposons que vous avez fait partie de l’équipage de l’hélicoptère.
Ce doit être passionnant avec toutes les conférences et explications de toutes vos sorties.
Il va y avoir un sacré compte-rendu à nous faire à votre retour
Pour nous dernière journée …. nous rentrons demain.
Bises à vous deux
Mimi et Jean Lou
Coucou Marie-Claude et Dominique ! J’ai hâte de vous revoir après ce périple plus qu’extraordinaire que je suis jour après jour. Bisous
Bonjour à tous les chanceux qui naviguent sur l’Ortelius. Tout d’abord toutes mes félicitations pour la teneur des comptes-rendus journaliers très concis, mais ceux-ci doivent être encore bien loin de la réalité aussi bien visuelle qu’émotionnelle ressentie lors de cette expédition.
Petit message pour Marie-Claude et Dominique : profitez pleinement et appréciez les quelques jours qui restent avant votre retour. J’attends vos photos !!!!!
Je vous embrasse. Martine