Du 7 au 10 Septembre 2017
Jeudi 7 septembre 2017
Paris / Longyearbyen (N78°13’, E15°37’)
Pour commencer notre aventure vers le Grand Nord, nous nous retrouvons au terminal 3 de l’aéroport de Paris Charles de Gaulle dès 5 heures 30 du matin. Une partie du groupe, dont les passagers arrivant de Suisse, a déjà pu faire connaissance dès la veille, à l’hôtel Ibis.
De Paris, un avion de la compagnie ASL, spécialement affrété par Grands Espaces, nous attend. Le départ est retardé par la panne d’un camion de la compagnie de ravitaillement nous empêchant de quitter le parking, et nous décollons finalement à 8h30, avec une heure de retard !
Quatre heures 15 plus tard, nous avons quitté l’été parisien pour plonger dans l’air frais et vivifiant de Longyearbyen. 78° de latitude nord, 3°C et des montagnes enneigées… nous sommes au Spitzberg.
Avant d’embarquer à bord de notre navire polaire l’Ortélius, nous partons en autocar pour une excursion dans la vallée de l’Advent, « l’Adventdalen », sous la conduite de nos deux guides, Alain et Bruno, assistés d’Audrey et Adrien. Ceux qui sont déjà venus préfèrent rester dans la ville et consacrent leur temps libre à la visite des musées et des magasins.
À un peu plus d’un kilomètre du port, s’étend donc la petite ville de Monsieur John Munro Longyear : Longyearbyen. Fondée en 1906, c’est aujourd’hui la plus grande « ville » de l’archipel avec 2 100 habitants de 44 nationalités différentes. C’est un lieu bien singulier. Avec ses baraques en bois sur pilotis profondément ancrées dans le sol, ses gazoducs, son hôpital, ses bars, sa boîte de nuit et… son UNIS : l’Université la plus septentrionale du monde.
Les écoles sont protégées par de hauts grillages. En aucun cas pour éviter une évasion des jeunes écoliers vers des contrées plus douces, mais bien pour les protéger. L’ours blanc fait ici partie du quotidien. Dans la très conviviale église de bois, il est possible de s’arrêter boire un thé et déguster des waffles (gaufres).
Longyearbyen, c’est aussi ses 7 mines de charbon, ses wagonnets sur leurs téléphériques. Seule la mine N°7 est encore en exploitation. Son charbon alimente la centrale thermique et fournit ainsi l’électricité nécessaire à cette ville du haut arctique. Autour des habitations, de nombreux skidoos attendent les premières neiges. Les importantes meutes de chiens nous font penser aux belles escapades hivernales.
En s’enfonçant dans la toundra, la vallée nous donne un avant-goût de ce que nous offrira l’Arctique. Les derniers groupes de bernaches nonnettes croisent notre route. Sur les collines environnantes, de larges antennes ont retenu notre attention. Ces infrastructures permettent d’étudier les aurores boréales : magie des hautes latitudes qui illuminent la longue nuit polaire.
Sur le chemin du retour, nous admirons les linaigrettes de Scheuchzer en graines et la toundra qui se pare de ses couleurs automnales.
Nous embarquons à bord de l’Ortélius à 16h30. Après avoir écouté les premiers conseils sur la vie à bord et participé à l’exercice d’abandon obligatoire, nous larguons les amarres et quittons l’Isfjord, pour mettre le cap au Nord.
Nous faisons connaissance avec le commandant, Ernesto Baria, lors d’un sympathique cocktail de bienvenue. Après le dîner, chacun regagne sa cabine, et, bercé par la houle, profite d’une nuit de repos bien méritée.
Bienvenue à bord pour 15 jours d’expédition polaire !
Vendredi 8 septembre 2017
Liefdefjord
« Mesdames, messieurs, chers amis bonjour » : ce refrain que nous allons apprendre à reconnaître très rapidement, c’est la voix de notre chef d’expédition, Christian, qui nous sort de nos rêves à 7h30. Ce premier réveil à bord de l’Ortélius se fait sur une mer étonnement calme grâce au choix de notre capitaine de naviguer au plus près de la côte du Spitzberg, nous épargnant ainsi les vingt-cinq nœuds de vent du sud qui soufflent plus au large. À l’extérieur, le ciel se partage entre les nuages bas et les trouées de ciel bleu. Après le petit-déjeuner nous nous retrouvons en salle de conférence, notre « chapelle » comme nous l’appelons, pour la distribution des bottes et des gilets de sauvetage, équipements indispensables à nos excursions quotidiennes, tout comme les réunions qui ont suivi. Nous recevons les consignes de l’AECO, pour les sorties en zodiacs et du comportement à adopter face aux ours. Nous voilà maintenant prêts à entamer notre croisière expédition pour de bon. Et pour ce faire, nous entrons dans le Woodfjord, puis le Liefdefjord pour nous arrêter devant le glacier de Monaco après le déjeuner. Le temps de se préparer, de rejoindre les échelles de coupée et il est 14h30 lorsque nous partons à bord des zodiacs en direction du glacier. Ce dernier formait autrefois un seul front de glace continu avec le glacier de Monaco, il s’en trouve aujourd’hui séparé par une montagne à mesure que ces deux glaciers reculent. C’est le spectacle de la glace : les premiers icebergs, le brash et le crépitement des bulles d’air, ces fronts de glace monumentaux que nous entendons craquer, avant que soudainement, des pans entiers ne s’effondrent dans un bruit de tonnerre. On se familiarise petit à petit avec cet environnement dans des conditions très clémentes. La température est douce, il n’y a pas de vent et le soleil fait quelques apparitions. Un Phoque barbu est aperçu rapidement. En avançant vers le glacier de Monaco les oiseaux se font plus nombreux et nous profitons de belles observations de Mouettes tridactyles dont de nombreuses jeunes au plumage bigarré, de Goélands bourgmestres et de quelques Sternes arctiques. À tout ce beau monde se joignent les pirates des mers, les Labbes parasites, dont nous observerons de superbes poursuites acharnées afin de faire régurgiter ou lâcher leur proie aux Mouettes tridactyles. La sortie se poursuit au milieu des icebergs, tous différents et stimulant l’imaginaire des uns et des autres face à ces formes toujours plus surprenantes. En bruit de fond, les vêlages de glacier que nous ratons souvent, et voyons parfois. Nous avons eu la chance d’assister à un spectacle rare, un vêlage sous-marin : un immense bloc de glace s’est décroché au pied du glacier, sous l’eau, pour surgir verticalement avant de rouler à la base du glacier.
Après deux heures et demie, c’est un peu refroidi mais très heureux que nous rentrons dans notre nouvelle demeure, l’Ortelius. Chacun se réchauffe avec un thé ou un café en débriefant de cette belle sortie avant de poursuivre tous ensemble en salle de conférence pour le premier « récap ». C’est l’occasion pour l’équipe de se présenter. Jérémy nous parle ensuite de la Mouette tridactyle et Audrey explique le rôle essentiel qu’a joué Albert Ier dans l’exploration de ces régions, notamment celle du glacier de Monaco, ainsi nommé en son honneur. Christian conclut ce récap en expliquant les plans pour le lendemain et il est déjà l’heure de dîner. Mais ce dernier sera écourté. Alors que nous finissons le plat de résistance, le haut-parleur s’active : « …nous avons repéré un ours à terre devant le bateau ». Pas de dessert et tout le monde se précipite dehors. Cet ours, d’abord couché, finira par se lever et longer la côte pour nous offrir un superbe spectacle. C’est un mâle, assez mince en cette période de jeûne forcé pour les individus, bloqué à terre en l’absence de banquise. Nous en profitons longuement depuis les ponts extérieurs et lorsque le bateau repart, la satisfaction d’avoir vu notre premier ours se lit sur les visages. Tout le monde rentre au chaud pour enfin profiter du dessert et attendre l’étape suivante de notre soirée : l’île de Moffen. Sur la route, 3 petits rorquals sont aperçus à proximité du bateau mais ne feront que passer. Vers 22h30, nous passons le symbolique 80e degré de latitude nord avec l’île de Moffen en vue et son reposoir de morses. Ils sont au moins une vingtaine couchés sur la plage. Nous les observons depuis le bateau en respectant les 300 mètres de distance obligatoire vis-à-vis de cette zone protégée qui accueillait la dernière colonie du Svalbard après son extermination de l’archipel jusqu’à la protection de l’espèce en 1952. Ainsi nous concluons cette première belle journée dans la lumière du soir qui laisse déjà présager les nuits à venir.
Samedi 9 septembre 2017
Smeerenburg
Réveil par un petit temps gris, plafond bas au-dessus de l’angle nord-est de l’archipel du Spitzberg, devant l’île des Danois, Danskoya, où nous attend une longue carcasse de cachalot en putréfaction avancée qui fait habituellement le délice des ours blancs en mal de bon phoque gras de banquise.
La chevauchée des zodiacs nous conduit à proximité immédiate des os blanchissant. Seul un ours perché dans les reliefs de l’île ne nous fera pas l’honneur de venir se repaître de ces chairs copieusement faisandées.
De là, nous partons en deux groupes, l’un vers le site de Smeerenburg, l’autre en direction de Virgohamna.
Smeerenburg, sur l’île d’Amsterdamoya, correspond à l’emplacement de l’ancienne capitale baleinière des Hollandais, une quinzaine de baraquements qui abritèrent, de 1614 à 1655, 200 bouchers venus transformer les baleines franches du Groenland en huile pour l’éclairage des villes d’Europe et en baleines de parapluie et de corsets tirés des fanons de l’animal. Une dizaine de restes de fours matérialisés par des briques et de grands cercles faits d’un mortier noirâtre issu du mélange du sable et des projections de graisse recuite tombées des grands chaudrons de cuivre dans lesquels les baleiniers faisaient fondre les Léviathans. Aujourd’hui, seuls les bois flottés de Sibérie viennent s’échouer sur ce site historique, accompagnés d’une horde de gros morses mâles se prélassant sur la plage d’un sable blanc de la plus grande finesse. Ils dorment tous du sommeil bien mérité du juste en ce début de troisième millénaire où seules les meutes de photographes de l’Ortélius viennent non plus leur voler leur ivoire à méchants coups de hache mais leur tirer le portrait à grandes rafales de téléobjectifs.
Le second groupe longe la côte jusqu’à Virgohamna, l’anse depuis laquelle Salomon Andrée puis Wellman partiront à la conquête du pôle par les airs. Les restes de poteries en grès et de limaille de fer témoignent du processus de fabrication de l’hydrogène nécessaire au gonflage du ballon d’Andrée qui ira se perdre, en 1897, avec ses deux équipiers, sur la redoutable banquise. Leurs restes des trois malheureux seront retrouvés 30 ans plus tard par un phoquier au pied de la calotte recouvrant l’Ile Blanche, Kvitoya.
Dans la baie attenante de Virgohamna, un important groupe de Phoques veau-marins se repose à marée basse sur les rochers du rivage, comportement très caractéristique de cette espèce plus connue des latitudes moyennes de l’Atlantique (Baie de Somme, Grand Barachois à St Pierre-et-Miquelon) que de ces hautes latitudes polaires où une petite population est venue s’installer sur la côte nord-ouest du Spitzberg.
L’après-midi, nous entamons notre descente vers le Sud quand, nous apprêtant à embouquer Sorgatet, la « porte du Sud » qui permet de rejoindre la baie de la Madeleine depuis Smeerenburg, du haut de la passerelle, le capitaine et Fabrice repèrent un ours sur la côte à Boltodden, tout près de Bjornhamna, la bien nommée baie « anse à l’ours ». Une tache crème associée à une tache rouge sont perchées à une vingtaine de mètres au-dessus du rivage dans une zone faite de blocs et d’éboulis grossiers recouverts de mousse. L’approche en zodiac confirme l’observation d’un superbe spécimen d’ourse occupée à faire la sieste après le festin, non pas d’un phoque, mais d’un renne dont il ne reste plus que la peau et quelques membres amplement décharnés. La configuration très accidentée du terrain laisse à penser, une fois n’est pas coutume, que le renne puisse avoir été chassé avec succès par cette ourse avantagée par un terrain peu propice à la fuite de sa proie. Une pastille dans l’oreille gauche montre que cet individu a fait l’objet de mensurations par les scientifiques spécialisés dans le suivi de la population de la mer de Barentz à laquelle appartient cette jeune femelle.
Les prévisions de fort vent de Sud nous amènent à continuer notre route directement vers la Baie du Roi, le Konsfjord, en laissant sur notre babord, Baie de la Madeleine et Glacier du 14 juillet à l’entrée de la Baie de la Croix. Après le repas, croisière devant Ny-Alesund vers le fond du fjord dominé par ces trois imposantes pyramides naturelles baptisées les Trois Couronnes, en hommage aux royaumes scandinaves, du Danemark, de Suède et de Norvège derrière lesquelles se lève la pleine lune.
A 22h00, nous prenons plein Ouest, par une mer parfaitement calme en ce début de nuit, direction la côte est du Groenland pour une traversée de 400 miles nautiques sur la redoutable Mer du Groenland en prévision de laquelle toutes les écoutilles de l’Ortélius ont été hermétiquement closes.
Dimanche 10 septembre 2017
Après la journée chargée d’hier, et grâce au changement d’heure qui nous a permis de dormir une heure de plus, notre petit déjeuner est servi plus tardivement ce matin !
Nous avons parcouru une partie de notre route qui nous sépare du Groenland cette nuit. Aujourd’hui, c’est une journée « navigation » qui nous attend… la mer à perte de vue. On en profite pour présenter plusieurs conférences : le matin, Bruno nous parle de l’histoire du Spitzberg depuis sa découverte jusqu’à nos jours, puis Jean Marie nous propose un atelier photo, très attendu de nos photographes amateurs.
Dans la matinée, nous avons franchi le méridien de Greenwich.
Après le déjeuner (dont la soupe était un vrai délice !) et une courte sieste, c’est au tour de Jérémy de nous présenter les oiseaux de l’Arctique, en nous amusant des anecdotes de ses expéditions scientifiques au Svalbard et au Groenland. Pour finir cette belle série, Olivia nous détaille l’histoire entre les baleiniers du 17e siècle et la baleine boréale.
Le temps de se relaxer ou de prendre un apéritif au bar, et le diner est servi.
En soirée, nous sommes invités à une séance cinéma : « La tente rouge » est à l’affiche. Le film de Mikhail Kalatozov relate les aventures du célèbre général-explorateur italien Nobile dans son expédition pour survoler le Pôle Nord en dirigeable en mai 1928. Peter Finch incarne le général Nobile, tandis que Sean Connery est Roald Amundsen. La belle infirmière de Kingsbay n’est autre que Claudia Cardinale…
La navigation va se prolonger toute la nuit et on va retarder nos montres pour demain matin pour être à l’heure groenlandaise ! Sur ce… bonne nuit.
Messages
Ma sœur et mon beau frère mr et Mme pierre derrien sont actuellement à bord de l’ortelius et je leur souhaite bonne navigation ainsi qu’à tout l’équipage …
Pour Magdeleine Barenne : nous restons branchés au propre et au figuré.
Comptons sur toi pour nous faire voyager … Si les photos sont possibles dans le commentaire, nous sommes preneurs pour rêver à distance.
Bon voyage à tous.
Franck et Alexandra ont vu l’ours qu’ils ont tant rêvé de voir ! Je suis si contente pour eux ! Bonne continuation à tous !
Bonjour un très grand Merci pour les merveilleux commentaires que nous suivons de près car nos enfants Alexandra et Franck Brenner font parties de l’expédition .Dans l’attente d’autres nouvelles bonnne navigation à toutes et tous
Bonjour à tous l’équipage!!!
Mes parents JP et Martine congnard sont à bord du l’ortelius pour cet extraordinaire voyage!
Profitez de ces beaux spectacles de nature et de vie!
Bonne navigation à tous!
Coucou Pierre et Martine (et autres voyageurs ),j’espère que votre voyage se passe bien ,on compte sur vous pour nous envoyer des photos .Bonne croisière à tous profitez bien .Gros bisous!
J’ai suivi vos déplacements du vendredi 8 septembre trés intéressant déjà quelques animaux en vue et un ours certainement un brin curieux que l’on vienne le déranger.
BOnne continuation et bonnes découvertes pour tous
Martine et Pierre . Nous vous souhaitons une agreable croisière dans ces contrees « refrigerees »Gros bisous
Carole et Pierre, nous vous suivons à la trace grâce à ces commentaires très imagés. On visualise en attendant de voir vos photos. PS: selon tél. de ce jour, Mireille est de retour à la maison depuis ce lundi et elle va bien.
Beaucoup de navigation pour le moment mais pas beaucoup d’animaux en vue…je souhaite que vous supportez bien cette navigation !!!…
Hei naboene! Hvordan har du det? Denne turen er fantastisk, veldig glad for deg! Enjoy.
En liten bjørn går i dag rundt i hagen din. Han kom alene som en stor mann.
Hilsener og hjertelige hilsener
Blaise
Bonjour voisins ! Comment allez vous ? Ce voyage est incroyable, très heureux pour vous ! Profitez.
Un petit ours se promène dans ton jardin aujourd’hui. Il est venu seul comme un grand.
Salutations et salutations chaleureuses
Blaise
Merci pour votre compte rendu journalier qui nous permet aussi de voyager dans notre imaginaire en attendant la retraite pour vivre ces expériences à notre tour
pensées amicales à Valérie SILVERT
Bonjour à tout l’équipage et de grosses bises à ma grand-mère Jeannine FERSSIWI et son frère Daniel MORIZE qui sont à bord !
Merci de leur faire vivre ce rêve.
Quel plaisir de partager un peu de l’aventure grâce au compte-rendu, merci au rédacteur.
BABETH et VINCENT GATIER sont à bord, si vous avez le temps donnez leur le bonjour des savoyards, on les embrasse.
MERCI.
Bonsoir Martine et Pierre avez-vous rencontré le fameux Ours Bipolaire =)
Bonjour à tout l’équipage de l Ortelius .Les comptes-rendus sont extraordinaires et nous font rêver.Nous suivons ce voyage de très près et attendons les photos de Franck et Alexandra Brenner avec impatience .Bonne continuation et profitez bien de ses beaux paysages Bisous à vous
Je continue à suivre vos commentaires fournis …je vous souhaite à tous bonne continuation en attendant votre prochain commentaire .
Mes salutations à tous…j’embrasse Martine et Pierre
Pierre et Marguerite Griessen… nous lisons avec plaisir vos aventures, nous bien au chaud (ou presque) ! Profitez-bien de la suite de votre croisière et ramenez-nous de belles photos !
A bientôt bisous
bravo pour tous ces commentaires sur votre croisière
un petit coucou à georges (fan de rugby avè l’accent..) et christiane , profitez bien
Oh mais quelle annonce fait-il Alain ….. ?
Il faut que nous attendions demain pour le savoir !!
Un coucou à Franck et Alex
et un bonjour à tous.
Un coucou a Muriel et Bernard!
Profitez bien de cette croisière.
Merci à l’équipe de tenir à jour le compte rendu régulièrement. Ca fait rêver depuis la grisaille parisienne!
A bientot
Bises
Mag, Pierre et moi sommes ravis que tu ais pu voir tes premières écharpes de lumière.
Nous suivons chaque jour les étapes du voyage et attendons avec impatience les photos.
Merci pour ce compte rendu qui fait rêver ceux qui sont restés dans les brumes pluvieuses et déjà automnales de nos contrées.
A bientôt
Jacq
Ces comptes-rendus quotidiens nous rendent impatients de les agrémenter de photos.
Bonne continuation à tous. Profitez bien de cette belle croisière.
Bises à Mag de nous 3
Merci pour les bonnes nouvelles j’espère pour toi Alexandra avoir pu réaliser ton rêve la sortie en hélicoptère et que la boite à photos de Franck n’est pas complète car Nous tous attendons tous les photos avec impatience profitez tous et à bientôt ⛴ Bisous
Waouh ! Sea ice and sunset…. BBQ au milieu des iceberg et vodka à bord, la vie de trappeur a bon dos….
Merci à tout l’equipage de nous partager ces moments exeptionnels et entre deux VODKA ! Notre affevtion aux passagers Babeth et Vincent Gatier. MERCI
Bonjour à tous
Nous suivons mes parents Martine et JP Congnard
Journées magnifiquement bien raconté
Quel beau cadeaux pour ma maman Martine qui fetais son anniversaire lundi 18 sept à bord
Bisous de nous 4
Juste un signe.
Pour toi et tes coéquipiers faites nous rêver et partager votre périple .